Martine Ousset et Alain Clavet, Boom Liberté.
L’été approche et bientôt les terrasses au Saint-Moose vous accueillerons dès l’heure du lunch. Nous vous recommandons de déguster un cocktail, par exemple, le Mule des Bois : Bombay Sapphire, pamplemousse et bière de gingembre et le Winter Daiquiri : Bacardi Oakheart, ananas, orgeat, lime et angostura.
Après le cocktail, un bon choix de tapas vous seront proposés dont une nouveauté au menu le gravlax de saumon et des classiques : la mousse de foie de volaille et le Mac & Cheese (Boeuf braisé). Le chef offre aussi de belles surprises au menu.
Un endroit sympatique à découvrir et à fréquenter.
Le Saint Moose
1738 rue Saint Denis
Vous êtes invités à voir et à vivre du Shakespeare éclaté, actuel et percutant. Les personnages et les mots s’entrechoquent, aiment à se détester et expriment la folie des passions. « Un hymne à la nuit, à la vie, aux passions amoureuses et au pouvoir de l’imagination. » (F. Bélanger) Il importe de souligner la qualité d’écriture de Steve Gagnon qui a réussi une adaptation qui livre l’esprit de Shakespeare : charnelle, poétique et débridée exprimant le désir d’être quelqu’un, celui d’être soi et d’être aimé.
« Présenté pour la première fois en 1605, Le Songe d’une nuit d’été est un hymne à la passion amoureuse naissante et une fête des sens dans un univers où le mystérieux et le surnaturel se côtoient. Avec Adrien Bletton, Dany Boudreault, Steve Gagnon, Karine Gonthier-Hyndman, Maude Guérin, Hubert Lemire, Jean-Philippe Perras, Étienne Pilon, Olivia Palacci et Claudiane Ruelland. » (Extrait du Web). Profitez de cette belle occasion culturelle pour aller faire une tournée dans Hochelaga, un quartier vibrant et en pleine ébullition, et voir Le Songe d’une nuit d’été au Théâtre Denise-Pelletier.
Voir Le Songe d’une nuit d’été, jusqu’au 18 avril
Le scénario est inspiré d’un livre d’Olivier De Bruyn publié chez Actes Sud. Un pygmalion revisité où, Neîla Salah, (Camélia Jordana) une égérie de culture arabe vit une rencontre culturelle frontale avec l’élite parisienne incarnée par un professeur cynique, corrosif, chauvin et exigeant, Pierre Mazard, (Daniel Auteuil) mais amoureux de la langue et de la culture françaises.
Les classes sociales sont bien affirmées à Paris. Lorsqu’une personne est d’origine arabe et vit à Créteil les chances de percer dans l’élite parisienne et d’être acceptée dans les grandes écoles sont minimes. L’élite parisienne a la particule bien visible et les membres de « sang bleu » prennent l’apéro loin de la plèbe. Ce film aborde le sujet avec l’intelligence d’acteur de Daniel Auteuil. La conclusion du film nous laisse songeur: pour se faire accepter et réussir il faut se conformer à tous les codes sociaux de l’élite culturel. Finalement l’inclusion est toujours le fardeau des plus faibles.
La cuisine dominicaine est savoureuse et épicée. L’un des plats favoris des dominicains est la soupe aux sept viandes, mais le plat le plus typique reste la Bandera; recette à base de riz blanc, haricots rouges, ragout de viande, salade et banane plantain frite. Les poissons, fruits de mer, fruits tropicaux sont d’une fraîcheur exquise. Enfin, il existe de nombreuses variétés de rhum qui sont la base de délicieux cocktails fruités. (Extrait de Vacanceo.com)
Les 7,000 producteurs de sirop du Québec font de plus en plus connaître les vertus pour la santé des produits d’érable. Le célèbre chef Philippe Mollé, maintenant ambassadeur des produits de l’érable, se félicite du fait que les sirops ont établi des standards de qualité.
« Mon attachement à l’érable remonte à mon enfance alors que je me régalais avec les desserts de ma grand-mère. Je me souviens encore aujourd’hui avec bonheur de ses beignets légers et croustillants trempés dans du sirop d’érable chaud… ». Yves Levesque chérit ces souvenirs d’enfance au point qu’ils sont devenus une réelle inspiration pour les multiples desserts à l’érable qu’il viendra à créer tout au long de sa carrière… Des desserts qui ont su ravir nombre de convives célèbres dont Raymond Barre, premier ministre français en 1980, pour qui Yves Levesque a concocté un soufflé à l’érable inoubliable! (Cité de la biographie d’Yves Levesque..)
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