Alain Clavet, La Métropole

Voilà une comédie italienne de Molière avec en vedette Benoît Brière en Géronte et André Robitaille en Scapin. La prestation de Benoît Brière vaut à elle seule le déplacement!

Brière réussit à faire rire le public et incarne parfaitement l’esprit de la commedia dell’arte. Brière assume les coups de bâton avec brio et poursuit la grande tradition des Olivier Guimond et Louis de Funès.

À Naples, où se passe l’action, il y a deux spécialités : la pizza et les mauvais garçons. Octave et Léandre, deux fils de famille un rien empotés, se sont mis les pieds dans les plats avec des histoires d’amour pendant que leurs pères étaient en voyage d’affaires. Or – panique ! – les papas sont de retour. Heureusement, Léandre a comme valet un repris de justice merveilleusement débrouillard nommé Scapin, qui passe à l’action : mensonges, escroquerie, intimidation, violence, rien n’est à son épreuve. Tout ce mal, évidemment, mènera au bien général, au triomphe de l’amour et à la prospérité des familles ! (Extrait du programme).

Mise en scène : Carl Béchard

Avec Simon Beaulé-Bulman, Marie-Ève Beaulieu, Carol Bergeron, Benoît Brière, Patrice Coquereau, David-Alexandre Després, Marcelle Hudon, Sébastien René, André Robitaille, Catherine Sénart, Tatiana Zinga Botao.

Théâtre du Nouveau Monde

Direction artistique: Lorraine Pintal

Les Fourberies de Scapin

Mise en scène : Carl Béchard