Culture, voyages et art de vivre par Martine Ousset et Alain Clavet de La Métropole.

Mois : décembre 2017 (Page 2 of 2)

Françoise Sullivan, peintre.

La couleur tombée du ciel à l’Espace musée Québécor offre un magnifique ensemble d’oeuvres de Françoise Sullivan. Pierre Karl Péladeau et Simon Blais ont fait les présentations d’usage lors du vernissage le 5 décembre dernier.

Françoise Sullivan a participé en 1941 à la première rencontre entre Paul-Émile Borduas et un groupe d’étudiants invités par Pierre Gauvreau qui amènera la formation du groupe des Automatistes, puis à la rédaction, en 1948, du manifeste du Refus global. Sculpteure et peintre, Françoise Sullivan exprime par l’Automatisme une attitude face à la vie, une démarche dans la création. (Claude Gosselin. Rétrospective).

Les pinceaux de Françoise Sullivan capte <cette couleur qu’on dirait tombée du ciel>. (Paul Bradley, Galerie Simon Blais).

Félicitations à Québécor qui ajoute un bel espace pour les arts visuels et les Montréalais au 612 rue Saint Jacques.

Alain Clavet, Rédacteur en chef,

La Métropole

Les crimes technologiques

Le livre de Marc Goodman: Les crimes technologiques. Les dessous et les dangers du numérique et du Big Data offre une enquête-choc et troublante sur la cybercriminalité et le cyberterrorisme. Marc Goodman, grâce à 20 ans d’expérience dans la lutte contre la cybercriminalité pour le FBI et Interpol, révèle les côtés obscurs du tout numérique que nous vivons aujourd’hui. Vol d’identité, piratage de cartes de crédit, arnaque à l’assurance, espionnage industriel et bioterrorisme; autant de facettes d’une nouvelle criminalité.

Après la lecture de ce livre vous serez mieux informé et plus prudent. Vous serez davantage conscient des risques de l’utilisation commerciale ou criminelle de vos données personnelles ainsi que des risques que vos ordinateurs soient utilisés ou envahis par des intrus. Marc Goodman vous aidera à survivre aux progrès. Cette aide est précieuse et la lecture de ce livre passionnante.

Alain Clavet

La Métropole

Montréal en lumière.

La 19è édition de Montréal en lumière dirigée par Jacques-André Dupont, PDG, sous le thème du Partage du Savoir, aura lieu du 22 février au 4 mars 2018. Les activitées gourmandes seront à l’honneur à l’occasion du 50è anniversaire de l’ITHQ. Liza Frulla rappelle que Montréal a été proclamée capitale gastronomique. La gastronomie se définie simplement comme l’art de bien boire et de bien manger.

Des chefs du Mexique, de France d’Italie et de Belgique notamment ont été invités. Un circuit gastronomique 5 services sera offert par des diplômés de l’ITHQ, dont Jonathan Lapierre. En partenariat avec la SAQ des ateliers seront organisés par Soeur Angèle et Ann-Rika Martin.

Jean-Pierre Curtat, directeur exécutif du Casino de Montréal, a organisé un programme sur le thème du Savoir. Des conférences sur les légumes moches, les cidre de glace et patates en lumière en plus d’un coup de coeur pour des chefs de la Côte-Nord: Martin Brisson, Jean-Sébastien Sicard et Glen Forbes. Plusieurs restaurants accueilleront des chefs renommés : Le Blumenthal, L’Etat Major, l’Europea, Graziella, le Hambar, l’Hotel W, le Kitchen Galerie et Le Chasse-Galerie, l’Auberge Saint-Gabriel, la Société, le Margaux, Quartier Général, Mercury, Portus 360, Alexandre, le Renoir, l’Atelier Joël Robuchon.

Planète Montréal reçoit des personnalités dont Florence K, Brigitte Boisjolie, le docteur Béliveau. La série Esprit Libre avec 60 activités. Le blog PotLuckMtl.com est à visiter pour plus d’information. Le Mondial des cidres SAQ 2018, La Tablée des chefs et les Ballades culinaires du Vieux-Montréal. À ne pas manquer la conférence sur le Nordic Food Lab à l’Astral

La contribution des partenaires est à souligner notamment Bell, la RBC, la SAQ le Casino et Air France.

Nelson Pagé, musique et chansons

Le 17 novembre dernier, Nelson Pagé a rencontré de nouveau son public montréalais à la salle Claude Léveillée de la Place des arts pour un concert intime et chaleureux. Nelson accompagné d’un percusionniste a offert des compositions récentes dont Fun, Comme les oiseaux et des pièces musicales au piano. Le public ravi a chanté et rêvé avec Nelson Pagé. Ne manquez pas son prochain rendez-vous!

Manger en Abitibi-Témiscamingue

Par Martine Ousset, La Métropole

Impossible d’aborder la gastronomie en Abitibi-Témiscamingue sans une mention d’honneur à l’Association Origine nord-ouest. Cette association « a pour mission de mettre en valeur par des outils et des événements ponctuels le talent gastronomique des chefs cuisiniers de la région par l’utilisation des produits d’origine de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et du nord du Québec. » Origine nord-ouest a publié : Tout l’monde à table, un livre remarquable, en deux tomes, qui fait découvrir les alléchantes recettes des chefs de la région, élaborées avec fierté, en mettant en valeur les produits du terroir.

Origine nord-ouest illustre éloquemment que l’union fait la force. L’entraide de tous les membres est, en effet, remarquable. Les chefs des restaurants membres vous invitent à visiter les autres artisans producteurs et les autresrestaurants de l’Association. Nous avons eu le plaisir de visiter quelques-uns des membres.

À l’hôtel Forestel, au restaurant Le Monti, le sympathique et charismatique chef Yves Moreau, l’un des meilleurs chefs de la région et membre fondateur d’Origine nord-ouest, dont il parle avec passion, nous a préparé un excellent repas. Jugez vous-même : salade de tomates et petite verdure régionale, fromage local feta et allegretto, un potage de concombre et aneth, un filet de bœuf vieilli à souhait avec foie gras poêlé et en dessert une mousse au fromage de chèvre et fraise sauvage, coulis de bleuet et cerise de terre du jardin d’à côté. Une petite carte des vins bien sélectionnés avec un bon rapport qualité-prix. La sélection du Forestel et ses importations privées sont à recommander. L’accueil est chaleureux, le service sympathique.

La micro Brasserie Prospecteur à Val-d’Or, sur la populaire 3e avenue, est un endroit à la mode grâce à son ambiance décontractée, sa jolie terrasse sur le toit. Au menu bistro, excellentes pizzas, tartares, burgers, mais on fréquente surtout le Prospecteur pour ses bières maisons dont La tête de Pioche, une des plus populaires. Il y a toujours douze bières à l’ardoise, dont une bière invitée. Les propriétaires Philippe Lord et Jonathan Deschamps ont même ouvert un magasin général où il est possible d’acheter des produits maison et des cadeaux originaux. Un accueil jeune et dynamique vous y attend.

À Val-d’Or, le bar-bistro l’Entracte est un incontournable depuis dix ans avec son décor moderne et raffiné, son bar convivial et sa terrasseanimée. L’endroit est idéal pour toutes les occasions, lunch d’affaire, apéritifs entre amis et soirées amicales ou amoureuses.

Les propriétaires Loiselle Blais et Michel Veillette ainsi que leur gérant Daniel Bienvenue, qui est aussi l’excellent barman du restaurant, fidélisent leurs clientèles avec un accueil professionnel et amical. On s’y sent bien dès le premier instant. Au menu, les sushis maison attirent l’attention, car le restaurant n’a rien de japonais. Une chef d’origine mexicaine a proposé les sushis au menu et a formé les employés à cet art. En plus des sushis, nous avons dégusté une superbe escalope de veau et une morue noire. Les desserts, crème brûlée et tarte au citron, étaient délicieux grâce au talent de la chef pâtissière Karine Ouellette. La belle carte des vins et composée d’importation privée à des prix très raisonnables. La sélection au verre offre à la fois la qualité et la quantité à bon prix. Daniel, le gérant, veille au bon déroulement du service tout en discutant avec les clients du bar. Un endroit à découvrir à Val-d’Or.

Pour les petits déjeuners, les lunchs et les brunchs du samedi, dimanche, le restaurant Les Becs Sucrés Salés constitue l’endroit par excellence à Val-d’Or. Les résidents de la région en parlent avec enthousiasme. En entrant par lapetite épicerie du resto, on comprend pourquoi. Gourmandise, quand tu nous tiens! Les beaux étalages de produits maison, confitures, gelées, les mousses, les terrines, croissants, brioches, pâtisseries et les paniers-cadeaux sont alléchants. Régis est arrivé dans la région il y a onze ans, originaire d’Alsace, où il était pâtissier. Du côté resto-cuisine, l’ambiance est joyeuse, la grande cuisine ouverte nous permet de voir Régis et son équipe travailler avec le sourire même dans son coup de feu. Les assiettes sont bien présentées et les œufs de toutes les façons sont au menu, notamment les œufs à la bénédictine sont succulents. Il y a aussi une ardoise avec les choix du jour, selon l’inspiration du chef. Côté service, c’est sympathique, café à volonté et assiettes souvent servies par le chef, affable et souriant.

« Pour jouir, il faut savoir goûter. » Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). La gourmandise ultime, le chocolat, Choco Mango à Val-d’Or, vous fera succomber. Olga Coronado Mijangos, originaire du Guatemala, et au Canada depuis une vingtaine d’années, est une maître du chocolat fin. Son père bâtit une des plus grandes confiseries en Amérique centrale. Sa formation en administration des affaires et sa passion du chocolat et du travail parfait ont fait sa renommée tant au Québec qu’en France. Une boîte de Choco Mango représente une fabuleuse idée de cadeau pour les grands épicuriens amateurs de douceurs au caramel, à la praline et la collection chocolat-vin avec ses accords parfaits. Un chocolat fin et un verre de vin de qualité pourraient être l’ une des définitions du bonheur! Mentionnons, L’Aromatique et corpulent, un chocolat corsé avec une longue présence en bouche par sa concentration élevée en cacao avec une touche de fleur de sel pour un accord avec les vins amers : Rhône, Languedoc, Douro, Malbec, Cabernet Sauvignon et Crus de Bordeaux.

Ou encore, l’accord vin blanc, l’Aromatique et tendre, fruité et souple, les vins sucrés et liqueurs fines et l’accord porto. Les sorbets, les gâteaux, les macarons multicolores, si jolis et délicieux. Suite au prix d’excellence de la Grande dé gustation de Montréal 2014, les sélections chocolat accord-vins de Choco Mango sont en vente dans les librairies Renaud-Bray.

La route de l’or, la 117, vous conduira à Rouyn-Noranda. Cette ville, sise aux abords du lac Osisko, réserve de belles surprises. À l’Auberge des Gouverneurs Le Noranda, le restaurant de l’hôtel, Le Cellier au décor contemporain avec sa belle cuisine ouverte, son petit bar accueillant offre aux clients de l’hôtel et aux nombreux habitués locaux une excellente cuisine et un menu continental moderne. Nous avons dégusté en entrées un tartare de canard et des escargots à l’ail et ensuite un excellent carré d’agneau et un magret de canard. Le toutarrosé d’un Château Viramière 2011 Saint-Émilion. Notre serveur étaitcharmant, professionnel, en somme, un excellent service.

Le bistro-bar Le Cachottier est ouvert depuis cinq ans. L’association de Thomas en cuisine et de Karelle en salle forme une équipe gagnante. Un grand bar convivial entoure la cuisine, pièce maîtresse du bistro, où vous sera offerte une belle variété de tapas. Le soir, ça bouge dans ce bistro branché où les cocktails maison sont à l’honneur.

À Rouyn-Noranda, du mardi au samedi de 11 h à 21 h, le restaurant Olive et Basil est l’endroit idéal pour un lunch, un brunch ou un souper de bonne heure. Au menu, on nous propose des salades, des baguettes, d’excellents paninis, des croque-monsieur et des pizzettas. L’influence italo-française est bien sentie. Les vins sélectionnés pour la carte des vins sont à bon prix. L’accueil est chaleureux, grâce aux propriétaires Lucie Jutras et André de la Chevrotière, qui traitent leurs clientèles avec beaucoup de soins.

Mentionnons également la Micro Brasserie Le Trèfle Noir qui produit, depuis maintenant huit ans, sa bière du même nom, une excellente bière noire en bouteille et une belle sélection de whiskys. Les amateurs seront ravis du service et de l’ambiance.

Souhaitons longue vie à l’Association Origine nord-ouest qui organise chaque année une fête gastronomique de trois jours. Un événement à ne pas manquer!

Manger en Abitibi

Pour un accueil exceptionnel

Abitibiens au coeur d’or

L’immense région de l’Abitibi-Témiscamingue accueille les visiteurs à bras ouverts. Pays de la ruée vers l’or, des immenses forêts, des milliers de lacs et d’une faune et d’une flore qui s’étendent à l’infini.

Alain Clavet – LaMetropole.com

Au nord-ouest du Québec jusqu’à la frontière de l’Ontario l’Abitibi-Témiscamingue est une région fière de sa gastronomie, de ses produits du terroir et riche de ses sous-sols qui recèlent l’une des plus grandes réserves d’or au monde.

La faille Cadillac qui s’étend de Val-d’Or à Rouyn-Noranda est formée de la collision lente de deux plaques tectoniques et permet la montée de magma vers la surface accompagnée de riches minerais.   L’or, le cuivre, le zinc, le diamant, le lithium et les pierres semi-précieuses se sont ainsi accumulés au fil des siècles.   Des mineurs courageux se sont attelés depuis les années quarante à extraire ces richesses à la sueur de leurs fronts.   Relisez Germinal d’Émile Zola pour vous mettre aux parfums aux dures conditions que vivaient les premiers mineurs de Val-d’Or.

Aujourd’hui, technologies obligent, les mines sont modernes, sécuritaires et mieux contrôlées. Nous ne pouvons qu’éprouver de l’admiration pour ces rudes travailleurs qui « triment dur » à des centaines de mètres sous la terre! Le passage obligé d’une visite à Val-d’Or est, sans contredit, la visite de la Cité de l’or et du Village minier de Bourlamaque, dirigés par Guy Édouard Bouchard, avec ses maisons de bois rond des années quarante.

L’ancienne mine Lamaque de la Cité de l’or est une riche mine d’or maintenant devenue musée. Vous pourrez descendre 91 mètres sous terre, avec un excellent guide, pour vivre l’expérience de la vie d’un mineur des années 40. Une expérience marquante et intense vous y attend.  Vous devez d’abord revêtir le casque, le survêtement et les bottes de mineurs puis, à l’aide d’un camion conçu à cette fin, descendre doucement le tunnel qui conduit vers la nuit totale. Là-bas, au fond, où règne la nuit, l’humidité constante de huit degrés centigrades vous imprégnera des souvenirs des hommes forts qui ont pioché et sont parfois « morts à l’ouvrage », pour fendre la roche, la transporter, pour ensuite la liquéfier en briques d’or.

L’histoire de la création et du développement de l’Abitibi-Témiscamingue est le fruit de la découverte et de l’exploitation des mines d’or. Les Abitibiens, qui ont de l’or plein les veines, ont développé une culture régionale en valorisant la culture algonquine des Anicinabes et de celles des mineurs Polonais et Russes notamment qui ont participé à la Ruée vers l’or.   Je vous invite à visiter le Centre d’exposition de Val-d’Or où ses galeries présentent les magnifiques œuvres de Frank Polson. « Les œuvres de l’artiste algonquin Frank Polson sont inspirées d’une légende Anicinabe qui raconte comment le Grand-Esprit, à la vue du désordre dans lequel vivait le peuple, commanda aux sept grands-pères de former un enfant aux sept valeurs qui pourraient rétablir l’ordre et créer des conditions de vie saine et heureuse. » (Citation du livret de l’exposition.)

Les expositions Les 7 grands-pères et Rétrospectives de Polson sont complétées par celle d’Aki Odebi – Cicatrices de la Terre-Mère en collaboration avec le Centre d’amitié autochtone. La directrice Carmelle Adam vous présentera avec compétence et passion ces œuvres importantes afin de mieux connaître et apprécier les coutumes et l’art pictural des nations amérindiennes de la région.

Les artistes des spectacles du Festival d’humour de l’Abitibi-Témiscamingue, à voir également, vous feront rire de bon cœur. Le circuit historique Héritage Val-d’Or est aussi à ne pas manquer afin de visiter notamment l’Église orthodoxe russe St-George, surtout accompagné des judicieux commentaires de Nancy Arpin, directrice générale de l’Office de tourisme et des congrès de Val-d’Or.

La proverbiale chaleur de l’accueil des Abitibiens se vit notamment dans leurs bars et restaurants.   Mentionnons quelques incontournables : prendre une bière à la microbrasserie, Le Prospecteur, déguster les créations au chocolat d’Olga Coronado Mijangos au Choco Mango et manger aux restaurants Becs Sucrés-Salés, l’Entracte, le Habaneros grill mexicain sans oublier l’accueil chaleureux d’Isabelle Boutin du Balthazar Café.

Rouyn-Noranda, située à 105 kilomètres de Val-d’Or, est construite aux abords du lac Osisko. La Maison Dumulon, un ancien magasin général, avec une superbe vue sur le lac, est animée de mains de maître par François Labbé. Les belles résidences de Noranda et ses excellents restaurants dont Le Cachottier et l’Olive et Basil, La Muse Gueule et le restaurant Le Cellier de l’Hôtel Le Noranda seront vous plaire.   Le Trèfle noir, une véritable institution de Rouyn-Noranda, vous séduira par son ambiance et ses bières locales.

Les infrastructures hôtelières de l’Abitibi-Témiscamingue n’ont rien à envier aux autres régions du Québec. Vous passerez notamment un magnifique séjour à l’Hôtel Forestel de Val-d’Or et à l’Hôtel Gouverneur Le Noranda à Rouyn-Noranda. La route 117 de Val-d’Or à Rouyn-Noranda est littéralement pavée sur l’or. À telle enseigne que des tronçons de la route 117 ont été déplacés pour permettre l’agrandissement des mines d’or! À trente kilomètres de Val-d’Or la ville de Malartic offre les visites du Musée minéralogique de l’Abitibi-Témiscaminque et un aperçu, sur un belvédère, de la plus grande mine d’or à ciel ouvert au Canada la Mine Canadian Malartic. C’est fort impressionnant et on se sent tout petit face à ce travail titanesque.

Après Rouyn-Noranda poursuivez votre route vers le sud afin de traverser la magnifique région des lacs et de fermes du Témiscamingue.   Le lac Témiscamingue s’étend sur environ cent kilomètres et ne cesse d’impressionner par la beauté de ses paysages à chaque détour de la route sinueuse. La visite du musée de la gare de la ville de Témiscamingue vaut le détour afin de mieux comprendre le développement industriel de la région. Ne ratez pas la Foire gourmande du 18 au 20 août 2017 de la pittoresque Ville-Marie qui regroupe les principaux producteurs et agrotransformateurs de l’Abitibi-Témiscamingue, dont l’Éden rouge et Les chocolats Martine.

Afin de bien préparer votre visite de la grande région de l’Abitibi-Témiscamingue, n’hésitez pas à contacter Tourisme Abitibi-Témiscamingue qui connaît tous ses trésors. J’aimerais remercier sincèrement Anne-Marie Belzile de ce bureau qui a su prodiguer ses conseils, son enthousiasme et ses connaissances dans l’organisation de ce voyage de presse.

Le Québec est un immense pays fait de lacs, de forêts, de paysages et de Québécois résilients et fiers de leur région. La visite de l’Abitibi-Témiscamingue est incontournable pour comprendre un aspect important de notre histoire et notre culture comme peuple.

TOURISME ABITIBI-TÉMISCAMINGUE

La Métropole

http://www.lametropole.com/article/tendances/voyages/abitibiens-au-coeur-d-or

MÙV 2 Rosemont

La Direction du Consortium MÙV 2 a dévoilé sa dernière phase du projet (un investissement de 40 millions $) qui viendra compléter ce complexe d’habitation exceptionnel, au cœur de l’arrondissement. Philippe Lupien, architecte, s’est joint à l’équipe de Jacques Plante, président de Développement MAP pour la création et la réalisation de MÙV 2.

Basé à Montréal, Développement MAP se spécialise dans la construction de condominiums neufs. Les partenaires de Développement MAP ont, avec leur entreprise respective, collectivement participé à la réalisation de plusieurs milliers d’unités d’habitation dans la grande région de Montréal depuis plus de 25 ans.

On leur doit, entre autres, le projet Symphonia de l’Île-des-Sœurs et le projet de condominiums réalisé dans l’ancien bâtiment qui abritait la Biscuiterie Viau, situé dans le quartier Maisonneuve.

Ingénieurs sans frontières

Ingénieurs sans frontières Québec est un organisme dynamique qui mise sur le savoir-faire et l’excellence des ingénieurs d’ici pour aller faire une différence ailleurs, aux quatre coins du monde. Trois missions sont présentement en cours (Madagascar, République démocratique du Congo et Rwanda) avec la participation de plus de 50 ingénieurs québécois ! Créé en 1994, l’ISFQ, sous la direction dynamique de Léanne Bonhomme, utilise le génie comme moyen de développement durable des pays en voie de développement.

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