Culture, voyages et art de vivre par Martine Ousset et Alain Clavet de La Métropole.

Mois : février 2018

La République dominicaine fête au Centre Bell

Alain Clavet,  La Métropole / Boom Liberté

Samedi dernier le Centre Bell dansait grâce à la République dominicaine. Cette île magique où se rencontre les influences créoles, espagnoles et françaises est devenue l’une des destinations-soleil préférées des Québécois.

Pour fêter ses succès, l’Office de promotion touristique de la République dominicaine a organisé une grande fiesta au Centre Bell. Des musiciens, des costumes colorées, un spectacle numérique et les sourires contagieux des Dominicains ont soufflés la joie de vivre des Caraïbes sur le Centre Bell.

La République dominicaine offre encore plus que des plages dorées et une mer émeraude grâce à la riche culture coloniale de Saint-Domingue.  De plus, la Selle-Jaragua-Bahoruco-Enriquillo a été désignée Réserve de biosphère transfrontalière par l’UNESCO.  De la plage à l’écotourisme en passant par la bachata, la République dominicaine est un rendez-vous.

Prenez le temps de parcourir les campagnes, les petits ports de pêche et les villages isolés, mais aussi les montagnes de l’intérieur, propices aux sports de pleine nature et aux balades, avec pour toile de fond, la silhouette du Pico Duarte, le plus haut sommet des Caraïbes… (Extrait de routards.com)  En savoir plus : http://www.routard.com/guide/code_dest/republique_dominicaine.htm#ixzz58EhwL1Rf

La République dominicaine

Un monde à découvrir!

Le Saint-Moose

Martine Ousset, La Métropole-Boom Liberté

Dans le cœur du Quartier Latin, au 1738 rue Saint Denis, le 21 février,  le Saint-Moose célébrait son ouverture officielle.

Le Saint-Moose est très bien situé en plein coeur du secteur des  cinémas, des théâtres, de l’UQAM et de la Grande Bibliothèque. Accessible en métro, il correspond à un besoin dans ce secteur compte tenu de la clientèle du quartier: étudiants, professeurs, touristes, professionnels, jeunes et moins jeunes….un bar à la fois chic et décontracté.

Le local qui a autrefois hébergé Le Bistro St Denis, un endroit sympathique, très français qui a vu vivre une époque forte du Québec, les années 80 et 90. Depuis,  personne n’avait su redonner une âme à cet espace. Et bien voilà, le Saint-Moose en a saisi l’essence.  Le décor est vraiment réussi alliant chaleur, confort et originalité. Le grand bar convivial,  à l’entrée est la pièce maîtresse de l’endroit parfait pour les rencontres d’amis ou pour se faire de nouvelles connaissances, les 5 à 7, les soirées et fins de soirées.

Un coin table face au bar est idéal pour un petit groupe.  L’ éclairage parfaitement tamisé et très réussi plaira tout particulièrement aux dames. Le foyer au fond de la salle arrière ajoute quelques degrés au décor et une touche réconfortante à nos hivers, avec un coin musique et danse, pour les belles soirées.

Le Saint-Moose propose un menu simple, mais bien adapté à la clientèle. Une petite carte snack pour l’apéro. Un menu plats variés à prix très raisonnables, par exemple, tartares, quedilles de crevettes, poutine au chorizo et des plats végétariens, fromages et plus encore.  Les cocktails sont à l’honneur, le bar regorge d’excellents alcools, la petite sélection de vins est sympathique grâce à ses prix d’amis, quelques bulles et un beau choix de bières. Il ne manque que vous et vos amis. Cette belle ambiance plaira aux jeunes et aux moins jeunes.

L’été la très jolie terrasse donnant directement sur la rue Saint Denis sera très achalandée, c’est évident. Un très bel endroit à découvrir….

Le Saint-Moose

1738, rue Saint Denis

Pelletier chante Léveillée

Alain Clavet, La Métropole / Boom Liberté

Dans le cadre des spectacles de Montréal en lumière, Marie-Denise Pelletier consacre un concert à Claude Léveillée.   À la première, jeudi le 22 février dernier au Théâtre Outremont, l’émotion de Marie-Denise Pelletier se communiquait avec bonheur à une salle attentive.   Oui on se souvient de Claude Léveillée, décédé le 9 juin 2011, celui qui a fait rêver notre adolescence par de grandes mélodies : Frédéric, Le rendez vous, Le temps d’une chanson, Emmène-moi au bout du monde.  Léveillée nous rappelle les mots de Nelligan, la musique d’André Gagnon et la grande Édith Piaf.

En 1961, Léveillée est directeur artistique de la petite « boîte à chansons »Le Chat noir, à Montréal, où il engage Gilles Vigneault4 et lui demande après sa prestation s’il a d’autres textes à mettre en musique. C’est ainsi que Léveillée obtient plusieurs textes de Vigneault et qu’il sera le compositeur d’une trentaine d’entre eux, dont Le bout du mondeLe chemin de prairieIl en est passéAvec nos yeuxL’ÉquateurLes nuagesComme guitare… et L’hiver« qu’a admirablement chantée Monique Leyrac4 » ainsi que les autres chansons, sur l’album Monique Leyrac chante Léveillée et Vigneault (1963).  À la suite de son expérience en France, Claude Léveillée remporte le Grand Prix du disque canadien de la radio de CKAC en 1962. Le , il cofonde le Théâtre de Quat’Sous.  Au cours des années 1960, il produit plusieurs succès tels Les vieux pianosFrédéricLa légende du cheval blancLe rendez-vous (paroles de Gilles Vigneault), La scèneEmmène-moi au bout du monde et Soir d’hiver (poème d’Émile Nelligan). Il est le premier chansonnier québécois à se produire seul à la Place des Arts (en 1964)2. Il remporte le Grand prix du disque en 19662.

Il écrit quelques comédies musicales dont Elle tournera la terre en 1967 présentée à la Comédie-Canadienne de Montréal, la même année. Le , il interprète la chanson Le rendez-vous à l’émission américaineEd Sullivan Show, à l’occasion de l’Exposition universelle qui s’y tient alors. En 1968, accompagné d’André Gagnon, Léveillée fait une tournée de 26 récitals en URSS. Au début des années 1970, il produit des chansons remarquées telles L’étoile d’AmériqueCheval de boisSi jamais et Marie Rose. En 1972, il représente le Canada au Festival de la chanson de Sopot en Pologne. La même année, il repart en tournée en URSS. Au milieu des années 1970, Claude Léveillée électrifie quelque peu sa musique et produit des textes engagés : Les amoureux de l’an 2000Ce matin un hommeCe soir si on s’aimaitLes filles de l’Acadie illuminent ces années d’intenses créations.  En 1976, il donne une série de concerts à la Place des Arts, participe au spectacle des 5 grands sur la montagne (Une fois cinq) et présente quelques concerts avec Félix Leclerc à l’Île d’Orléans (Le temps d’une saison). (Extraits de Wikipédia).

Léveillée c’est une époque, une sensibilité, un romantisme et une poésie imprégnée des grands vents du Québec.  L’amour de Marie-Denise Pelletier pour Claude Léveillée nous a fait vivre des moments de grâce où le temps, ce despote, a été tenu en laisse.   Ne ratez pas l’occasion d’entendre Pelletier chanter Léveillée.   La culture québécoise requiert ses moments de mémoire pour dire merci à nos grands chansonniers.

À voir au Théâtre Outremont

Marie-Denise Pelletier chante Claude Léveillée

L’élégance et art de vivre du Château Frontenac

Martine Ousset, La Métropole

Suite à des rénovations majeures le Fairmont Château Frontenac, tout en conservant son élégance d’antant, offre aujourd’hui tous les conforts et raffinements d’un grand hôtel moderne 5 étoiles. Site du patrimoine mondial de l’UNESCO, le Château célèbre avec faste, grâce au leadership du directeur général Robert Mercure, ses 125 ans en 2018. Des rénovations de 80 millions $ ont permis de rénover ses 611 chambres avec bon goût : un design classique qui respecte et met en valeur les caractéristiques patrimoniales du Château Frontenac.

Le Château offre un service personnalisé et chaleureux que l’on sent dès l’arrivée. Beaucoup d’attention est accordée aux moindres détails afin de répondre aux besoins de tous les types de clients, même les plus exigeants.

Le Château offre le choix de trois restaurants : le magnifique 1608 -Bar à vin et fromages allie classe et convivialité. Le 1608 a gagné de nombreux concours de mixologie. Siroter doucement l’un des cocktails créatifs avec une vue imprenable du Saint-Laurent constitue une expérience unique qu’a vécu avant vous Paul McCartney, Steven Spielberg et Angelina Jolie. On peut aussi partager des assiettes de charcuterie et de fromages le tout accompagné d’excellents vins et de cocktails créatifs. Pour le début ou la fin de la soirée, ou encore toute la soirée, on y est tellement bien.

Nous avons eu l’honneur et le grand plaisir de manger au restaurant Le Champlain, le restaurant chic et renommé de l’Hôtel. Frédéric Cyr, directeur culinaire et le chef des trois restaurants Stéphane Modat, Maître Ouvrier de France et promoteur d’une cuisine régionale, nous ont fait vivre une expérience culinaire exceptionnelle. Le Chef Cyr assume la vision culinaire du Château et dirige toute l’équipe des sous-chefs. Le Chef Modat est l’auteur de plusieurs livres dont: Les recettes de Papilles et Molécules. Il a aussi été Chef et co-fondateur du restaurant Utopie. Il a aussi animé avec le célèbre sommelier François Chartier l’émission Papilles à Télé-Québec.

Au Champlain un décor beau à ravir et à l’entrée une cave à fromage nous accueille tout-à-côté du fabuleux cellier, où sont très haut perchées des merveilles de vin, une cave à faire rêver. Ce soir là, une tempête de neige s’amusait à nous faire des clins d’oeil aux fenêtres du restaurant qui offrent une vue imprenable sur le Fleuve Saint-Laurent.

Nous vous recommandons le menu 5 services Expérience Modat avec son accord mets et vins. Nous avons eu le plaisir de déguster en mise en bouche: l’esturgeon de la rivière Saint-Jean du Nouveau-Brunswick, accompagné d’un Sauvignon du Domaine du Haut Bourg, puis en entrées: le tartare de cerf rouge de Saint-Jean de Brébeuf et un Chardonnay Inniskillin, la trilogie de foie gras incluant l’escalope de foie gras poêlé et la terrine de foie gras et un Sauterne le Grand vin de Bordeaux, le Château d’Armajan des Ormes 2011, le tartare de cerf rouge de Saint-Jean de Brébeuf et un vin amérindien le NK’MIP. En plat principal, le filet de boeuf de l’Île-du-Prince-Édouard et un Indian Wells de la Columbia Valley É-U le Château Ste Michèle 2013. Pour couronner ce festin : la planche dégustation de desserts et un Riesling 2014 – Indian Summer de la Péninsule du Niagara. Une mention d’honneur à l’excellent serveur François qui nous a traité <aux petits oignons> avec un service à la fois professionnel, affable et courtois.

Le cognac Louis XIII de Rémy Martin

Bistro Le Sam vous offre une expérience en constante évolution au fil de la journée. Menu midi, plats créatifs à partager, 5 à 7 branchés et mixologie novatrice. Le Sam offre une sélection de planches à partager, par exemple, des fromages québécois, des charcuteries artisanales biologiques de Damien ou du terroir de Pierre Oteiza.

Le menu propose des entrées classiques: la salade César, le saumon fumé, la terrine de foie gras, et la gratinée à l’oignon. En plat principal, une judicieuse sélection internationale de viandes, de poissons et de plats végétariens. Le menu Sam Junior plaira aux plus exigeants de ses jeunes clients.

Les jeudis, vendredis, et samedis Le Sam surprend avec son côté lounge avec un décor feutré, sa sélection de cocktails préparés par de grands mixoloques champions du monde. Bien sûr, le vin est aussi à l’honneur, la carte des vins du Château est digne de mention, ainsi que la sélection d’alcool fins, dont l’exceptionnel Cognac Rémy Martin Louis XIII.

Place Dufferin sert buffets gourmands et des menus déjeuner exquis à la carte, aux premières loges du fleuve Saint-Laurent.

Robert Mercure, directeur général du Château Frontenac et détenteur du titre d’hôtelier de l’année 2015, vous invite à participer aux nombreux événements pour célébrer, jusqu’en décembre 2018, le 125e anniversaire du Château.

Célébrations 125e

Élégance et art de vivre

Fairmont- Le Château Frontenac

1-800-441-1414

Francouvertes

Alain Clavet, La Métropole

Le concours-vitrine de toutes les musiques de la 22e édition des Francouvertes a été lancé au Lion d’Or avec le partenariat de SiriusXM. Les Francouvertes visent à favoriser l’émergence d’artistes et de groupes de la relève musicale francophone canadienne représentant tous les genres musicaux.

Au fil des ans les Francouvertes ont mis en lumière 447 artistes et formations. Les porte-paroles cette année sont Klô Pelgag et Tire Le Coyote. Le grand lauréat remportera la bourse SiriusXM. La 22è édition nous fera découvrir notamment: Anthony Roussel, Billy Love Band, Julien Déry, Mathieu Bérubé, Rayannah et Zouz, en tout, 21 talents cette année!

Le public est invité à tenter l’aventure de la découverte musicale dans toute sa diversité lors de 11 soirées en compagnie de : Gabriel Bouchard, Raphaël Dénommé, zouz (19 février), Jay Scøtt X Smitty Bacalley, Of Course, LaF (26 février), Mathieu Bérubé, Lou-Adriane Cassidy, Valse Fréquence (5 mars), Laura Lefebvre, Julien Déry, Mort Rose (12 mars), Barrdo, Totem Tabou, CRABE (19 mars), Laura Babin, Billy Love Band, Anthony Roussel (26 mars), Rayannah, Héliodrome, Sam Faye et D-Track (3 avril).

Francouvertes 2018

Lion d’Or

Galerie Tommy Zen

Alain Clavet, La Métropole

Un événement réseautage organisé par la Galerie Tommy Zen, La Métropole et Artmotion International a permis de voir les extraordinaires urnes de Tommy Zen, le tableau transparent et lumineux de Carolline Auclair et aussi les oeuvres de Patrycja Walton, Ian Gamache et Arto Tchakmadjian.

Quarante ans d’expérience font de Tommy Zen un artiste solidement implanté dans le milieu des métiers d’art et des arts visuels. Deux disciplines artistiques l’aident à poursuivre sa démarche soutenue par une recherche approfondie : céramique et peinture.

Sur toile marouflée de feuilles métalliques : argent, bronze ou cuivre, Tommy Zen peint aux doigts, à la spatule, au pinceau, avec des pigments à l’huile. L’artiste privilégie les sujets abstraits sur grands formats, qui rappellent la nature.

Céramiste-designer et peintre, Tommy Zen vous invite dans son univers. Que vous visitiez la galerie des peintures ou celle des céramiques, une expérience vous y attend. (Extraits du site Web de la Galerie.)

La Galerie Tommy Zen

1452, rue Sherbooke Ouest

514-526-6919

Napoléon au MBAM

Napoléon : art et vie de cour au palais impérial.

Alain Clavet, La Métropole

Napoléon, personnage qui suscite à la fois l’admiration et le rejet, à la fois Empereur et <petit boucher>, donne lieu à une belle exposition au MBAM. À voir pour découvrir notamment le faste de sa maison et la construction du mythe de Napoléon.

Bienvenue au Palais impérial ! Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) présente Napoléon. Art et vie de cour au palais impérial, une exposition majeure qui fait revivre l’ambiance somptueuse de la cour de Napoléon à travers le regard des Grands officiers et des artistes de la « Maison de l’Empereur ».

Plus de 400 œuvres et objets d’art provenant des palais français révèlent le rôle fondamental de la Maison de l’Empereur durant le règne de Napoléon, depuis son couronnement en 1804 jusqu’à son exil en 1815. L’exposition rassemble des œuvres provenant de quelque 50 prêteurs prestigieux, dont le Musée du Louvre, le château de Fontainebleau, le Mobilier national et le musée national des châteaux de Malmaison. (Extrait du Web du MBAM).

Cette vaste exposition est l’occasion pour le MBAM de célébrer les 10 ans de l’acquisition par le Musée de plusieurs oeuvres de la collection napoléonienne de Ben Weider, cet homme d’affaires d’origine polonaise, vivant à Montréal, qui a fait fortune dans le culturisme. Passionné de Napoléon, il a écrit une douzaine d’ouvrages sur l’empereur, dont plusieurs démontrant son empoisonnement à l’arsenic, rappelle la directrice du MBAM, Nathalie Bondil, dans le catalogue La Maison de l’Empereur, qui accompagne l’exposition.

Après seulement 10 ans de règne, et près de 200 ans après sa mort, l’image de l’empereur et son nom sont toujours célèbres. L’entourage de Napoléon, qu’on appelle « la Maison de l’empereur », était dirigé par six grands officiers de la Couronne et se déployait dans cinq châteaux ayant jadis été habités par des rois de France. C’est donc à cette vie de cour, qui se déroulait 20 ans après la Révolution française, que nous convoque le Musée des beaux-arts de Montréal, avec la grande exposition Napoléon : art et vie de cour au palais impérial. ( Le Devoir, Caroline Montpetit).

À voir:

Napoléon : art et vie de cour au palais impérial.

Au Musée des beaux-arts de Montréal

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