Culture, voyages et art de vivre par Martine Ousset et Alain Clavet de La Métropole.

Auteur/autrice : Alain Clavet (Page 1 of 8)

PROFIL DE CARRIÈRE

Rédacteur en chef, La Métropole
Agent d’artistes. Musiciens et arts visuels. 2012 à aujourd’hui.
Directeur. Petite Maison des Arts. 2010 à aujourd’hui.
Concerts et promotion de la musique classique.
Chants lyriques, récital et musique de chambre.
Conseiller principal. (Cadre) Secrétariat aux langues officielles. Patrimoine canadien.
2007 à 2009.
Fonction-conseil relativement à la mise en œuvre de la Loi sur les langues officielles pour l’ensemble de l’administration fédérale.
Planification et rédaction d’un Plan de relance des langues officielles.
Directeur. Recherche et planification. Culture canadienne en ligne. Patrimoine canadien. 2003 à 2007.
Direction, planification stratégique et élaboration du cadre opérationnel du programme de recherche : 15 études par année.
Gestion et planification des communications, des documents corporatifs.
Direction d’une équipe de 14 personnes et gestion d’un budget de 2,1 M$ par année.
Directeur intérimaire. Politiques, recherche et planification stratégique. Commissariat aux langues officielles. 2002 à 2003

Analyste principal de politiques. Commissariat aux langues officielles. 1995 à 2001.

Secrétaire général. Tribunal canadien des relations professionnelles artistes-producteurs. 1993 à 1995.
Directeur des enseignements. Ecole nationale d’administration publique (ENAP). De 1989 à 1994.

Agent de concertation interministérielle. Secrétariat d’Etat. 1988 à 1989.
Professeur en administration publique à l’Université du Québec à Hull. 1988 à 1989.
Chef des services au public. Collection nationale de photographies. Archives nationales du Canada. 1976 à 1988.

SCOLARITÉ

Cours en droit. Faculté de droit civil. Université d’Ottawa. 1997 à 1998.
Cours au programme de doctorat en sciences politiques. UQAM. 1989 à 1990.
M.A.P. Maîtrise en administration publique. ENAP. 1984.
M.A. ès Arts. Histoire canadienne. Université de Sherbrooke. 1982.

DISTINCTION

Médaille d’honneur pour contribution au développement institutionnel de l’École nationale d’administration publique. (ÉNAP) 2003.

PUBLICATIONS

Le français sur Internet : au cœur de l’identité canadienne et de l’économie du savoir. 2002.
Plan stratégique quadriennal de la Commission canadienne de l’UNESCO. Les enjeux du multilinguisme sur l’Internet : vers un plan d’action de l’UNESCO. 2001.
Le gouvernement du Canada et le français sur Internet. 1999.
Répertoire des programmes fédéraux à l’intention de la communauté de langues officielles. 1999.
Rapport de mission de l’ÉNAP et du Centre international d’étudiants et stagiaires (Paris) : La mission accueil et encadrement des étudiants et des stagiaires en France et au Québec. 1982.
Guide des archives photographiques canadiennes. Archives nationales du Canada. Répertoire des fonds photographiques de 110 institutions culturelles canadiennes. 1978.
Guide des chercheurs. Archives nationales. 1979.

CONFÉRENCES

Représentant du gouvernement du Canada au World Internet Project. Beijing. 2006.
Représentant du Canada au sein du Comité d’experts sur le multilinguisme et l’accès universel au cyberespace. Paris. 2001.
UNESCO. Commission canadienne. Le multilinguisme sur Internet. Ottawa. 2000.
Newropeans 2000. New Europe, New Challenges, New Generations. Cultural diversity and political unity : the language and translation technological challenge. Paris. 2000.
Union Latine. L’Internet et le français comme langue romane. Maryland University, Washington. 2000.
Discours au congrès international : INET 2000 de l’Internet Society : A Linguistic Diversity in Cyberspace. Yokohama. Japon. 2000.
ACFAS, Atelier. 1999

Le Grand Prix de Formule 1: deux rendez-vous.

Alain Clavet et Martine Ousset,  LaMetropole.com

Formule Peel, l’événement le plus glamour du Grand Prix du Canada, est de retour pour une cinquième année consécutive avec une programmation à couper le souffle. Un rendez-vous prestigieux où gastronomie, musique et mode se fusionnent avec voitures de luxe.

Du 7 au 10 juin, près d’un demi- million de personnes du monde entier sont attendues à cette grande fête du printemps, présentée par l’équipe d’Impact Média, en collaboration avec Destination Centre-Ville et l’Association des restaurateurs et commerçants de la rue Peel. Le Grand Prix de Formule 1 de Montréal est l’occasion de festivités et de multiples événements.   En voici deux particulièrement intéressants:

Au centre-ville: En cette 25ième année de la dernière Coupe Stanley remportée par les Canadiens de Montréal, Patrice Brisebois est le porte-parole du grand événement Formule Peel – qui est de retour pour une 5ième année! Près de 500,000 personnes sont attendues sur la rue Peel, entre Sherbrooke et Ste-Catherine. Il y aura, en exclusivité canadienne, les célébrations des 70 ans de Porsche, avec un musée a ciel ouvert, un pop up club avec des dj’s venus de partout à travers le monde ainsi que des menus spéciaux offerts par tous les restaurants de la rue Peel. Bref, de l’action de 11h a 03h et, ce gratuitement! Les restaurateurs de la rue Peel vont offrir des menus spéciaux pour l’occasion.

Dans Griffintown: Cette année encore, le Licence IV fait les choses en grand pour la 51ième édition du Grand Prix du Canada! Lors de cette fin de semaine de festivités, le bistro français de Griffintown offre sur un plateau d’argent de vivre toute la fébrilité de la Formule 1 sur ses écrans, avec des menus spécialement conçus pour l’occasion et, enfin, de faire la fête avec deux invités de prestige: les réputés dj’s Stéphane Cocke et Laflèche.

Dress to Kill. DTK au Bar George

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole.

Le célèbre magazine canadien de mode Dress to Kill fêtera son 10ième anniversaire au Bar George du Mont Stephen, le mercredi 6 juin. Le public est invité à se joindre à la fête des 22h.

Dans le cadre des festivités de la F1, le Bar George offre une rencontre festive où se réuniront des personnalités du milieu artistique, sportif, et de la mode.

Une soirée à ne pas manquer qui promet bien des surprises!

DTK,  Dress to Kill

Au Bar George du Mont Stephen

J-F Fabiano, un tournant, l’album Transit.

Alain Clavet,  La Métropole.

L’auteur-interprète-compositeur, réalisateur et multi-instrumentiste, Jean-François Fabiano a lancé son nouvel album de chansons originales, Transit, au Lion d’Or le 18 mai dernier.  Produit dans les Studios Piccolo, ce disque représente une étape importante dans la longue carrière de Fabiano.   « Composé de jeunes musiciens de talents ainsi que de professionnels aguerris de la scène internationale, cet album représente un nouveau courant musical qui fusionne les racines afro-américaines (Folk-Blues), sur des rythmes Caribéens (Biguine- Reggae) remixés dans l’effervescence d’un univers multiculturel.  » (Extrait du web)

Cet album a été enregistré grâce à  l’équipe de Dominique Messier (batteur de Céline Dion), ainsi qu’avec la collaboration de Kazo Soudin (La Compagnie Créole), Ron Di Lauro (Hommage à Miles Davis), Janis Thompson (Céline Dion), Nadia Theobal (Corneille) et Victor Charlebois, homme d’affaires et fils de Robert Charlebois. (Extrait du communiqué de presse).

Né à Paris, d’origine franco-italo-guadeloupéenne, Jean-François FABIANO grandit dans un contexte familial axé sur la musique et culturellement très diversifié. Son père Yvan FABIANO est chef d’orchestre/percussionniste à la télévision française, ainsi que pour de grands artistes tels Henri Salvador, Sydney Bechet et Dalida. (Extrait du du Web.)

Excellent musicien, bien connu de la communauté artistique de Montréal, Fabiano a agit à titre de directeur musical de Robert Charlebois et collaborateur d’artistes de renom, tels que Ginette Reno et Nanette Workman.  Les rythmes envoûtants de la Guadeloupe seront vous séduire dans Transit.  La chanson Je m’ennuie de l’amour, composée à la mémoire de Teri Lee-Fabiano, est particulièrement réussie et touchante.

Transit sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=joqAZqoCE4Q&t=28s

J-F Fabiano, un tournant, l’album Transit.

Les Chaises au TNM.

Alain Clavet, La Métropole

Les grands comédiens Monique Miller et Gilles Renaud jouent au TNM, Les Chaises d’Eugène Ionesco, pièce publiée en 1954. Théâtre de l’absurde et de la quête de sens exprimant éloquemment les tourments de l’Europe d’après guerre, pleurant encore les millions de morts de ce carnage. Les silences, la solitude partagée d’un couple vieillissant, la tristesse d’accueillir des invités imaginaires nous font vivre un univers sans but, sans sens et sans espoir. Les chaises nombreuses et inutiles s’agglutinent, en rang militaire, dans un espace vide et froid.

Les Chaises serait-elle annonciatrice de notre société faisant fi de l’espace personnel, où tout est connu, mais rien ne se distingue? La pièce de théâtre Les Chaises nous parle, par-delà le temps, nous gens du numérique, confrontés à l’absurdité des monologues et des selfies solitaires.

À vivre,

Les Chaises au TNM

Chef’s Table : raffinement et intimité.

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté.

Chef’s Table au 365 Place d’Youville, un nouveau restaurant vient de voir le jour.  Un concept unique en son genre grâce à la créativité de la chef Marie -Anne Bédard.  (Madame Le Chef)  La carte est en grande partie un hommage aux saveurs et produits d’ici, dont elle est si fière.

Un très joli décor, moderne et chaleureux, un éclairage ciblé pour éclairer savamment les plats tout en étant tamisé, une réussite.  Le restaurant peut recevoir 60 personnes reparties sur deux étages. L’été une petite terrasse idéale pour un petit lunch au soleil.  Derrière Chef’s Table trois jeunes entrepreneurs montréalais passionnés et très sympathiques.  Cédric et Nicolas, copropriétaires et associés du succès Le Speakeasy, rue McGill et de la crèmerie Freeze.  Nicolas est aussi copropriétaire de TÔ comptoir asiatique, rue Milton.  Alexandre un nouveau montréalais qui a travaillé dans l’hôtellerie de luxe à Paris, Hôtel La Maison Champs Élysées et Disneyland Paris ainsi que Disney World Floride fait aussi partie de cette belle équipe.

Notre menu proposé était le Menu du Printemps, un 7 services avec accords mets vins dont un excellent chardonnais Enate 2016 et le Nird’. Nous avons opté en 3è service pour Le Crudo, sashimi de dorade royale, saumon, thon rouge avec leur purée d’édamame au wasabi, sauce ponzu et sriracha maison et La Gigue, tataki de cerf, garni de son caramel pétillant et sa compote de camerise, l’équilibre des saveurs et l’esthétique des assiettes étaient remarquables et le service plus que parfait!

En plats,  Le Veau se meut et Le Paleron, la cuisson des viandes et la présentation irréprochables.  Nous avons même « manger le menu » et oui, le menu sur hostie se mange!  Les desserts présentés comme une oeuvre d’art sur la table et signée par la Chef elle-même, un péché de gourmandise artistique.  Une belle carte des meilleurs vins, tous d’importations privées, des cocktails uniques aux présentations amusantes, dont Tea-Time offert dans une tasse de thé et La Botella Del Amor, mélange créatif de cointreau, vin effervescent, orange sanguine fraiche et sirop de pulpe de Grenade!

À découvrir!

Chef’s Table : raffinement et intimité.

365 Place d’Youville

514-543-0200

Du nouveau chez du Breton

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté

Du Breton revisite les classiques! Le jambon fumé forêt noire est notre favori pour salades et sandwichs.  Attendez de goûter le nouveau jambon tranché biologique aux arômes boréals.  Il est fumé aux aiguilles de sapin baumier de la Gaspésie.  Vous préférez les effluves délicates du verger?  Choisissez les tranches fumées au bois de pommier ou le traditionnel jambon cuit.

Les jambons du Breton  sont toujours sans nitrites, sans phosphates, sans agent de conservation, certifié biologique, provenant de porcs élevés sans antibiotique et délicieux.  La nouvelle plateforme graphique est facile à lire, c’est écrit noir sur blanc. L’étiquette du Breton est d’allure sobre et véridique.  Du Breton préconise depuis toujours la transparence et utilise des descriptifs clairs et faciles à lire.  Les nouvelles étiquettes permettront aux consommateurs de connaître  rapidement les informations qu’ils considèrent importantes dans leurs choix alimentaires.

Une compagnie sérieuse et digne de la confiance des consommateurs. Vous trouverez facilement le comptoir de charcuterie de votre supermarché IGA, Métro, Rachelle-Bery, Avril et certaines épiceries de produits naturels et biologiques.

Du nouveau chez du Breton

D’excellents produits à découvrir!

TÔ, comptoir asiatique sur Milton

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté.

La rue Milton accueille avec bonheur un comptoir asiatique de grande qualité le TÔ.  Hien Tran et Nicolas Delrieu ont décidé d’unir leur force dans cette nouvelle aventure.

Hien, Vietnamienne d’origine, passionnée par la cuisine, copropriétaire pendant vingt ans du célèbre Maïko Sushi.  Elle sera l’âme de la cuisine et offrira à la clientèle une cuisine savoureuse, recherchée et familiale.  Nicolas Delrieu a une grande expérience de la restauration, il est l’ancien copropriétaire du Duc de Lorraine.  Aujourd’hui, il est copropriétaire du restaurant Le Speakeasy sur la rue McGill et du nouveau Chef’s Table sur la rue Saint Pierre.   L’association de ses deux forces est de bon augure.

TÔ est un concept de resto Comptoir de douze places assises.  Le local est mignon et sympathique.  L’été une petite terrasse offrira quelques places supplémentaires.  TÔ se spécialisera dans la cuisine de qualité à emporter et dans la livraison.  Le menu de TÔ, créé par la Chef Hien est influencé par ses ses racines.  Les saveurs asiatiques et ses jolis tableaux, car elle est aussi artiste-peintre, égayeront  vos journées.   Nous avons eu le grand plaisir de déguster quelques spécialités et le tartare de saumon est un des meilleurs à Montréal.  Les sushis, les salades asiatiques, les sandwichs asiatiques, tout est simple et goûteux.  La qualité est évidente dans ce bijou de petit comptoir.  Les prix sont abordables, le quartier, est très central et venir chercher son repas sera facile.

Des invités de dernière minute, pas de soucis, ils seront ravis par les merveilles que vous leur servirez.  Le tout sans stress!

Un endroit à découvrir!

212, rue Milton

514-543-8086

La Promesse de l’aube au Beaubien

 Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté 
Le film La Promesse de l’Aube, présenté notamment au Cinéma Beaubien, nous fait vivre l’extraordinaire parcourt du célèbre romancier Romain Gary.  Pierre Niney un excellent Romain et Charlotte Gainsbourg en Nina est touchante et crédible, une grande actrice.
La Promesse de l’Aube est un roman autobiographique de Romain Gary publié en 1960. Le livre est adapté au cinéma par Eric Barbier.  L’écrivain Romain Gary est notamment connu pour la mystification littéraire qui le conduisit, dans les années 1970, à signer plusieurs romans sous le nom d’emprunt d’Émile Ajar, en les faisant passer pour l’œuvre d’un tiers. Il est ainsi le seul romancier à avoir reçu le prix Goncourt à deux reprises, sous deux pseudonymes.

Mina Kacew, jeune femme juive d’origine russe, élève seule son jeune garçon Romain Kacew en Pologne. Elle imagine pour lui une carrière toute tracée d’écrivain et de diplomate. Dynamique, travailleuse et douée en affaires, Mina monte une petite entreprise de mode à la manière de la France, pays qu’elle admire. Le négoce est prospère jusqu’à la montée de l’antisémitisme.. Afin de permettre de développer ses ambitions pour son fils, elle quitte la Pologne pour Nice. Là comme auparavant, dans une pension qu’elle parvient à gérer, elle fait preuve d’un amour dévorant et de beaucoup d’autorité en forçant Romain à écrire. Vient l’adolescence et l’âge adulte, de conquête féminine en conquête, mais l’inspiration littéraire n’est que balbutiante.

Puis survient la seconde guerre mondiale, Romain entre dans l’armée, Mina étant bien convaincue que son fils va très tôt percer parmi les officiers. Romain se fait un devoir de satisfaire les ambitions de sa mère qui ne cesse de l’encourager, parfois brutalement, par voie téléphonique ou épistolaire. Romain cherche à rejoindre le Général de Gaulle en Angleterre, puis se distingue dans l’aviation pour de glorieux faits de guerre, le portrait de sa mère collé au cockpit de l’avion en guise d’ange gardien. Il continue à écrire au milieu des opérations militaires, harcelé par Mina qui lui reproche son manque de productivité et l’absence de reconnaissance littéraire des éditeurs.  Blessé puis envoyé en Afrique, trois longues années passent avant qu’il ne revienne en France, mais Mina, qui ne l’oublie jamais, ne manque pas de lui envoyer deux lettres par semaine. Lorsqu’il arrive à Nice pour lui annoncer qu’il a enfin obtenu la publication d’une de ses romans, il trouve la porte close. (Extraits de Wikipédia).

À Voir La Promesse de l’Aube

Au Cinéma Beaubien

Helight : Lumière de jouvence.

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté.

L’élixir de jouvence est un mythe tenace.   Après tout, même les civilisations sont mortelles.  La recherche scientifique offre cependant, à l’occasion, des outils pour embellir la vie.  Aujourd’hui, nous aimerions vous parler de la lumière rouge.

La NASA a effectué de longues recherches afin de favoriser la qualité de vie des astronautes.   Ces recherches ont permis d’identifier la zone du spectre de la lumière solaire qui est essentielle à la vie, sans causer les dangers des UV, la lumière rouge.  Des lampes LED à grande puissance ont été conçues afin d’émettre ses fréquences qui sont bénéfiques à la peau et au système immunitaire.  Une compagnie française a décidé de commercialiser cette invention : la compagnie Helight.

Depuis janvier, Le nouveau et premier Centre Helight de Montréal, au 445 avenue du Président Kennedy, offre grâce à cette technologie sécuritaire, rapide, efficace et à la fine pointe du développement technologique notamment pour l’amélioration de l’aspect des cicatrices et du tonus musculaire. Selon les besoins spécifiques des clients, le nombre de sessions nécessaire varie.  Les rendez-vous s’adapteront à votre horaire car les sessions sont d’environ 15 minutes.  Le décor blanc et épuré est favorable à la détente. Les fauteuils confortables dans des cabines individuelles créent des oasis de paix dans la vie tumultueuse de la ville.  Helight offre des services qui favorisent la relaxation, le tonus de l’épiderme et un bien-être général qui renforce le système immunitaire.  Plusieurs protocoles sont proposés dont : rajeunissement, densité capilaire, soins du visage et soins du corps.  Les séances de lumière rouge ne guérissent pas de maladies spécifiques, ne remplacent aucun soins médicaux et sont sans effets secondaires, sans douleur et 100% naturelles.

Il s’agit plutôt d’accroître le bien-être, de renforcer le corps et ainsi nous résisterons mieux aux rigueurs de la vie stressante et de nos hivers rigoureux.  Les sessions Helight sont, bien sûr, bénéfiques tout au long de l’année.  La lumière rouge, en effet, pénètre en profondeur et alimente les cellules de la peau de façon beaucoup plus efficace que même les crèmes les plus coûteuses.  La lumière rouge nourrit les photorécepteurs des mitochondries des cellules et facilite ainsi leurs régénérations.   Le  Moment découverte nous a permis de vivre l’expérience Helight.   Cette première initiation nous a convaincus de débuter bientôt un protocole de 12 sessions.   Nous publierons un article afin d’en décrire les résultats.

Helight : Lumière de jouvence

455, avenue du Président Kennedy

L’idiot de Dostoïevski au TNM

Martine Ousset et Alain Clavet,  La Métropole et Boom Liberté.

Pour la première fois, le Théâtre du Nouveau-Monde (TNM) présente L’idiot de Dostoïevski.   Lorraine Pintal a bien senti l’intérêt de cette pièce dans le contexte de notre univers perturbé.  Un plaisir de vivre en effet les passions et les faiblesses humaines avec le regard pur et poétique du Prince Mychkine.   Ce Prince revient d’un voyage en Suisse qui visait à soigner sa maladie, l’épilepsie.   Dostoïevski, souffrant lui-même de cette maladie, jette un regard sur la situation de la Russie du 19e siècle.  Cette pièce nous interpelle par sa langue rude et crue.  Les passions se déchaînent mais nous rêvons avec le Prince Mychkine d’un monde meilleur qui reste à inventer. Mychkine est idiot, il exprime et incarne la compassion.

Mychkine est le spectateur impuissant du combat que mènent les autres avec eux-mêmes.  Il est là, transi.  Il espère jusqu’à s’en rendre malade.   Au fond, c’est peut-être en cela qu’il est un idiot. Se refusant toute forme d’intervention dans la destinée des autres, non seulement sa souffrance leur est inutile, pire encore, elle les humilie, car face à une telle bonté, comment ne pas ressentir encore plus cruellement ses propres vices ?  (Etienne Lepage, auteur, extrait du programme.)

Certains jours nous souhaiterions avoir le regard du Prince Mychkine face à la rudesse de notre société contrôlée par Facebook et dirigée par Donald Trump.  L’idiot finalement n’est sans doute pas celui qu’on pense.

Voir L’idiot de Dostoïevski au TNM

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